La fin du monde avec mon Shiba Inu : l’avis de Sanga et moi-même

4 novembre 2024by Zil'0

La bande dessinée La fin du monde avec mon Shiba Inu de Yu Ishihara propose une vision unique d’un futur post-apocalyptique, vécue par une jeune femme et son fidèle compagnon, un Shiba Inu nommé Haru. Ce manga, aussi original que touchant, invite les amoureux de Shiba Inu à découvrir un univers rempli de petites aventures, d’humour et de moments de complicité.

Ayant moi-même un Shiba Inu nommé Sanga, cette œuvre m’a particulièrement touché : j’ai pu observer des parallèles frappants entre Haru et Sanga, et cette lecture a réveillé en moi des réflexions sur l’amitié et la résilience. Voici donc mon avis sur ce manga unique, et pourquoi il mérite votre attention.

La fin du monde avec mon Shiba Inu : un manga pas comme les autres

Un récit post-apocalyptique tout en douceur

Dans La fin du monde avec mon Shiba Inu, Yu Ishihara met en scène une jeune femme et son Shiba Inu, Haru, qui parcourent un monde en ruines, déserté et silencieux. Contrairement aux récits de science-fiction habituels, ce manga adopte un ton apaisé, presque introspectif. Les péripéties sont simples mais poignantes, marquées par la solitude des deux personnages et la fidélité sans faille de Haru.

Le titre lui-même interpelle les lecteurs, suggérant que malgré la gravité de la situation, la compagnie d’un Shiba Inu peut transformer même les moments les plus sombres en instants de tendresse et de soutien.

Des illustrations poétiques et immersives

La patte artistique de Yu Ishihara

Les illustrations de Yu Ishihara captivent dès la première page. Elles sont à la fois détaillées et minimalistes, reflétant l’ambiance post-apocalyptique tout en mettant en avant la beauté de chaque scène. Les expressions faciales de Haru, ses mouvements et son interaction avec sa maîtresse sont retranscrits avec une précision qui révèle l’attention que l’autrice porte à la race.

Les fans de Shiba Inu apprécieront les détails qui rappellent le comportement si unique de cette race, notamment leur regard vif, leur posture attentive et leurs petits moments de rébellion. Ces illustrations m’ont rappelé certains traits de Sanga, mon propre Shiba, et m’ont permis de m’immerger dans cet univers, comme si je voyais Sanga vivre ses propres aventures à mes côtés dans un monde imaginaire.

Haru et Sanga : une amitié qui dépasse les pages

Des similitudes entre Haru et mon Shiba Inu, Sanga

En lisant La fin du monde avec mon Shiba Inu, j’ai été frappé par certaines similitudes entre Haru et Sanga. Tout comme Haru, Sanga est d’un naturel indépendant et légèrement espiègle, tout en restant d’une fidélité sans faille. Ces traits de caractère sont typiques des Shiba Inu, et ils sont retranscrits de manière touchante dans le manga.

Chaque fois que Haru se lance dans une exploration ou manifeste son affection à sa manière, j’ai pensé aux moments que je partage avec Sanga. Les lecteurs ayant un Shiba Inu retrouveront des comportements et attitudes propres à cette race : la curiosité sans bornes, le besoin d’espace, mais aussi une loyauté indéfectible.

Pour en savoir plus sur le caractère des Shiba Inu, consultez notre guide complet sur les caractéristiques de cette race.

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Une lecture particulière : le format Yonkoma

Qu’est-ce que le format Yonkoma ?

La fin du monde avec mon Shiba Inu est un manga structuré en Yonkoma, un format de bande dessinée japonaise en quatre cases verticales. Ce style permet une lecture rapide et légère, chaque strip apportant une touche d’humour ou de réflexion. Ce format particulier peut dérouter certains lecteurs occidentaux, mais il ajoute une dimension unique à l’histoire, en distillant l’intrigue par petites touches.

Personnellement, j’ai apprécié ce format pour sa simplicité. Les moments sont brefs mais marquants, et ils mettent l’accent sur l’essentiel : l’amitié, le soutien, et la résilience de Haru et de sa maîtresse dans un monde dévasté.

Mon avis global sur La fin du monde avec mon Shiba Inu

En tant qu’amoureux des Shiba Inu et propriétaire de Sanga, j’ai trouvé que La fin du monde avec mon Shiba Inu est un manga aussi captivant qu’original. Yu Ishihara parvient à transmettre toute l’essence du Shiba Inu à travers des illustrations soignées et une histoire apaisante, malgré son cadre post-apocalyptique. Cette lecture m’a rappelé les instants partagés avec Sanga et a renforcé le lien spécial que l’on peut avoir avec son compagnon.

Cependant, pour les lecteurs non initiés au format Yonkoma, la structure peut sembler déroutante. Néanmoins, je recommande ce manga à tous les amoureux de Shiba Inu et de récits poétiques, car il capture l’essence de cette race unique de manière émouvante et sincère.

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